La pratique du rugby lancée à Kikwit province du Kwilu

La FECORUGBY a diligenté une mission d’implantation du rugby à Kikwit, une ville située dans la province du Kwilu à 523 kilomètres de la ville de Kinshasa. La délégation, composée de deux officiels, monsieur Crispin NZAZI KISALA, 4^e vice-président et de monsieur MALETE MANGELE Papy, Officier de développement, avait pour mission :

• D’implanter effectivement le rugby dans ce coin du pays,
• D’aider en même temps sa vulgarisation dans les écoles par des séances d’entrainement adaptées,
• D’aider à la structuration de la ligue provinciale de rugby du Kwilu.

Pendant 35 jours de mission, notre officier de développement a réalisé un travail colossal. Sur une terre vierge rugbystiquement est née deux clubs en pleine cité de la ville de Kikwit : l’un à Kikwit 2 et l’autre au quartier Kikwit 3, composés majoritairement des jeunes âgés entre 16 et 22 ans et présentant d’énormes potentialités physiques et athlétiques. cette nouvelle offre sportive avec le rugby a suscite un grand intérêt auprès des enfants de tous les âges et aussi auprès des autorités de la ville dont le monsieur le maire qui a promis une assistance a la mesure de leurs moyens a nos prochaines activités.

Du côté scolaire, plusieurs écoles sont très intéressées au programme de développement du rugby dans établissements scolaires mais pour cette première mission, seules cinq écoles qui ont pu effectivement débuté avec les séances d’entrainement adaptés sous la conduite du coach Papy Malete, et qui se faisait à chaque fois assister par le professeur titulaire du cours d’éducation physique et sportive. Il s’agit des écoles ci – après : Institut Kiese, etc. les filles ont (voir photo en illustration)

Vu l’immense succès qu’a connu la première phase et compte tenu des attentes enregistrées lors de la 1e épisode, la FECORUGBY entrevoit déjà une deuxième mission pour début mai 2025 avec une augmentation du nombre d’officiers de développement une durée plus longue que la première. Il faudra également répondre cette fois-ci aux besoins de formation des encadrants locaux qui devront rester s’occuper des clubs formés.